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« Si elle n'a pas encore une histoire, la pop philosophie a déjà une bibliothèque où elle se donne à lire et des scènes où elle se laisse voir, entendre et applaudir. (...) En France, l'épicentre de la secousse se trouve à Marseille, où Jacques Serrano organise depuis 2009 la Semaine de la Pop Philosophie. »
Robert Maggiori, Libération
« On dira d'un mot que la Semaine de la Pop Philosophie fut cynique, mais au meilleur sens du terme, celui des Anciens Cyniques (...) s'efforçant de repérer les analogies de structures entre la Phénoménologie de l'esprit de Hegel et les bluettes de Barbara Cartland (...). Cynique, encore, le choix de se faire dérouler l'événement dans un endroit différent de la ville, et souvent dans des lieux de vie ou de culture. À l'underground café par exemple, où l'on s'imaginerait plus aisément agoniser d'une overdose qu'entendre un philosophe nous parler de pop art. »
Stéphane Legrand, Le Monde
« À Marseille, la Semaine de la Pop Philosophie invite les curieux à découvrir cette discipline sur un mode ludique autour d'objets d'étude du quotidien. »
Anne Béade, AFP
« Une ovation pour Jacques Serrano, qui organise la semaine de la Pop Philosophie à Marseille. »
Éric Aeschimman, Le Nouvel Observateur
« Depuis 2009, Marseille peut se targuer d'avoir vu naître en son sein une des manifestations les plus pointes de la réflexion sociale contemporaine : La Semaine de la Pop Philosophie. »
Patrick Coulomb, Marseille L'Hebdo
« Repenser l'art et la culture autrement en philosophant à partir d'objets issus de la culture pop. Tel est l'enjeu rafraîchissant de la Semaine de la Pop Philosophie. »
Hervé Aubron, Le Magazine Littéraire
« Des "Tontons flingueurs" à la culotte de Madonna en passant par Gaston Lagaffe ... à partir de ces objets triviaux, des philosophes imaginent des approches inédites pour repenser le monde. À Marseille et à Bruxelles, une Semaine de la Pop Philosophie révèle cette effervescence conceptuelle. »
Jean-Marie Durand, Les Inrocks
« Jacques Serrano bouscule les frontières de la philosophie [et] entend décomplexer le rapport à cette matière en l'appliquant à des objets du quotidien »
Corinne Boyer, La Croix
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